Wednesday, October 14, 2015

On October 14, 2015 | By

Téléchargement PDF Miles: L'autobiographie

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Miles: L'autobiographie

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Miles: L'autobiographie

Détails sur le produit

Poche: 624 pages

Editeur : La Table Ronde (8 juin 2017)

Collection : La petite Vermillon

Langue : Français

ISBN-10: 2710380455

ISBN-13: 978-2710380450

Dimensions du produit:

17,8 x 2,5 x 10,8 cm

Moyenne des commentaires client :

4.0 étoiles sur 5

5 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

73.299 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Pour tout les amoureux de Miles, un chemin de près de cinquante ans que l'on suit à travers le regard parfois partial et égocentré du génie du jazz. On a l'impression qu'il est assis là et qu'il raconte sa vie autour d'un verre.

Depuis le temps que je voulais me procurer ce livre. cet édition m'a l'air très bien ... je conseil cet ouvrage si vous aimez le jazz tout particulièrement

Bordée d'injures retranscrites à n'en plus finir qui n'ajoutent rien à un exposé qui aurait gagné à être plus factuel.

Consacrant l’été, comme mes contemporains, à des occupations un peu futiles, je viens de terminer ce livre après m’être envoyé l’autobiographie de William Friedkin, Friedkin connection. Si celle-ci se tient mieux pour ce qui touche à l’écriture, celui-là est tout aussi intéressant, une fois qu’on a fait abstraction des jurons, et de la langue relâchée que Miles Davis et Quincy Troupe ont cru bon d’utiliser, sans qu’on sache exactement qui a fait quoi et qui a décidé de quoi.Le cinéaste et le musicien ont beaucoup de choses en commun :- caractériels, manipulateurs et paranoïaques, ils ont passé une bonne partie de leur carrière à virer les gens : assistants, accessoiristes, scénaristes, monteurs, caméramen, chefs opérateurs, pour Friedkin, musiciens, roadies, tourneurs, avocats, comptables, pour Davis, en n’hésitant pas à user de l’humiliation. Ainsi Semil Sivad versant une bouteille de Heineken (sa marque favorite) sur son guitariste dont le jeu ne lui convenait pas. Anecdote qui démontre en passant que le trompettiste n’avait aucun goût en matière de bière.- grisés (sic-hic) par le succès, ils sont tous deux très vite atteint du syndrome « maître du monde » et tombent à pieds joints dans les clichés y afférents : voitures de sport italiennes, déguisement de satrape babylonien, appartements, maisons, tableaux de chasse féminins et mariages-désastres annoncés, fascination pour le milieu et les étoiles du sport. Avantage très net sur ce plan à Miles Davis, qui, après avoir péniblement décroché de l’héroïne, passera la fin des années 70 et la majeure partie des années 80 le nez dans la poudre, sans parler de l’alcool.- fin de carrière qui prend l’eau de toutes parts. Après Sorcerer (tiens, tiens….), Friedkin est fini, et on passera pudiquement sur la fin de l’engagement avec Columbia et la période Warner, où Miles Davis, à sa décharge miné par la maladie, fait un peu tout et n’importe quoi (changements incessants de musiciens, recours à l’électronique) alternant disques consternants (qui peut écouter You’re under arrest, Aura, Siesta ou Decoy ?) et tournées-hommages en Europe et au Japon, pays qui accueillent avec enthousiasme ses caprices de diva et ses exigences financières.- sans mettre en cause la sincérité de leur démarche artistique (quoique…), ce qui anime surtout l’un et l’autre, est le ressentiment, le désir de revanche : d’être né juif et pauvre pour Friedkin, noir et américain pour Davis. Avec, chez ce dernier, comme chez Mingus, bien qu’à un degré moindre, une détestation affichée des Blancs, coupables de piller la culture noire, de la dénaturer (Presley, Sting), de ne tolérer le Noir que dans le rôle de l’oncle Tom. Pas faux, bien sûr, mais bien trop général. Le Blanc ne semble bon qu’à une chose, acheter les disques du « Chef » (ainsi que ses musiciens le surnomment), et payer leurs places aux concerts, puisque les Noirs se tournent manifestement vers autre chose. Miles Davis, qui avoue ne jamais avoir rien lu, si ce n’est des journaux ou des magazines, aurait gagné à fréquenter quelques sociologues qui lui auraient expliqué deux trois trucs lui évitant de se fourvoyer dans des analyses bien niaises sur le respect dont jouissent les musiciens noirs en Europe. À Paris, Varsovie, Londres ou Rome, le jazzman américain est un produit exotique et donc digne d’intérêt. De plus, en général, il ne reste pas, à la différence par exemple, des Algériens, des Ivoiriens, ou des Calabrais. On comprend assez mal aussi comment ce rebelle accepte une invitation de Reagan à la Maison-Blanche (il trouve Nancy très bien) et comment il peut s’étonner d’entendre les âneries proférées par des mèmères à collier.Pour en revenir à nos moutons (noirs, évidemment), le livre se lit avec plaisir, malgré le caractère de cochon revendiqué, mais n’apprendra pas grand-chose à ceux qui connaissent un peu la carrière du trompettiste, les débuts be-bop, le virage du nonette, le quintette magique du début des années 60, la période fusion, puis funk, le trou noir des années 80…etc. L’intérêt du livre est dans les anecdotes concernant le milieu musical (musiciens, instruments, technique, producteurs, méthodes de travail), et la vie personnelle. La spécialité du maître étant l’éreintement, peu sortent indemnes de l’ouvrage : Gillespie, Max Roach, Tony Williams, Gil Evans, Hendrix, Prince. D’autres sont définitivement exécutés en une ligne (Steve Miller) ou plusieurs (Marsalis). Dernier point à mettre au crédit de Miles Davis : son admiration pour les batteurs, qui revient tout au long de l’ouvrage. Caractère de cochon, mais homme de goût.Tested and approved by Shuffle master.

Miles Davis dans toute sa splendeur, son talent, son génie, et aussi ses excès, sans lesquels son portrait aurait été altéré. Faire du "factuel" à propos de l'art serait comme supprimer les nuances sur une partition: C'est l'art et l'artiste dans toutes ses dimensions qui est LE factuel. Et Troupe semple avoir bien fait son job. J'ai adoré ce livre, tout comme j'adore les album de Miles Davis depuis... heu... je ne sais même plus. Je conseil vivement sa lecture. Elle est vraiment éclairante à plus d'un titre

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